Date d’érection | Érigée le 31 juillet 2012 |
Fête Patronale | 25 janvier |
Curé | Administrateur | Père YATA A. Elie (CD) |
Vicaire | Père Thomas BATABA |
Messe Dominicale | 07H00 |
Messes en Semaine | 6h00 |
Adoration du Saint Sacrement | Jeudi 17h 30 |
Confession | Samedi à 17h |
Stations secondaires | (05) Sainte Anne, Saint François, Saint Jean-Paul II, Saint Louis et saint pierre |
1- Bref historique de la paroisse
La paroisse Saint Paul de Kadjalla est érigée le 31 juillet 2012 par l’actuel Évêque, Mgr Jacques LONGA dans le souci de mieux apporter l’Évangile à cette population.
Avant sa création, elle était une station secondaire de la paroisse Sacré-Cœur de Yadè de 1970 – 1988, puis de la paroisse Notre-Dame du Rosaire de Broukou de 1988 à 2012. Sa fête patronale est le 25 janvier, conversion de Saint Paul, Apôtres des nations.
Depuis sa création, elle a comme curé, le père YATA A. Elie, comme vicaires, le père BATABAWIA Cléber de janvier 2018 à janvier 2020 et le père BATABA Thomas, de janvier 2020 à nos jours.
Jusqu’à sa création, elle avait comme catéchiste Théodore YASSIM qui est parti vers la maison du Père an après. Actuellement ni la station mère ni les stations secondaires n’ont de catéchistes, sauf des quelques fidèles laïcs volontaires qui assurent la célébration de la parole en l’absence du prêtre.
2- Aspect socio-géographique.
La paroisse Saint Paul de Kadjalla est située à 53km de Kara, ville épiscopale du diocèse. Elle couvre deux cantons à savoir canton de Kadjalla ( 5 villages) et le canton de Tchoré ( 7 villages). Située au nord de Kara, elle est limitée au nord par la paroisse Saint Joseph de Kandé, au sud par la paroisse Notre-Dame du Rosaire de Broukou, à l’est par les paroisses saint joseph ouvrier de Baga et sainte famille de défalé, à l’ouest par le fleuve Kara qui la sépare de la paroisse Notre-Dame de Lourdes de grin-kouka. Elle compte 4 stations secondaires : Saint François d’Assise d’Agoundè, Saint kisito d’Agbassa, Saint Philippe de Tchoré – ayiga et saint Michel archange de Tchoré-ville. Chacune d’elle est dotée d’une chapelle.
- La population est estimée à 16300 habitants, composée majoritairement des Lamba ( autochtones), des Nawdba et Kabyès ( installés ) qui sont en petit nombre et en partie des peules nomades et sédentaires.
- elle est essentiellement de la religion traditionnelle africaine, les adeptes sont estimés à 15220, de chrétiens protestants estimés à 500, chrétiens catholiques en référence au registre de Baptême ( 230 et 100 baptisés avant la création de la paroisse qui donne un total de 330 fidèles) et les musulmans estimés à 250.
- hormis une minorité d’enseignants et des agents de santés, la population est essentiellement paysanne. Les habitants vivent des produits vivriers comme sorgho, finio, maïs, igname, haricot, riz, sésame, sodja et un peu de l’élevage des volailles ( poulet naturel, pintade et pigeon), des petits ruminants ( chèvres, moutons), des porcs et des bœufs.